Alors que "Republic Disgrace", l'excellent nouvel album de Thunder Express, vient de sortir, l'occasion d'en parler avec Robert Dahlqvist, leader du groupe et guitariste des Hellacopters, ne pouvait pas se manquer
Les Bullwackies All Stars nous prouvent une fois de plus que le dub des seventies, résolument avant-gardiste, est un monde à part
Si vous aimez les disques variés, qui ne se (vous?) prennent pas la tête, au feeling bien groovy, celui-ci n'a rien à envier à d'autres plus dans l'air du temps
[Album]
25/06/2007
(Capitol/Emi)
Pour beaucoup, le meilleur des Beastie Boys est derrière, quand, à l'époque de "Check Your Head" ou "Ill Communication", ils n'hésitaient pas à prendre les instruments pour relever leur hip hop et lui donner une énergie qui faisait clairement leur identité, leur force. Depuis, les trois new yorkais sont revenus à la formule la plus basique du hip hop, celle de "Hello Nasty" et "To The 5 Boroughs", leurs deux derniers albums qui faisaient clamer haut et fort que le trio était définitivement sur la pente descendanteUne belle partie de plaisir, à condition de ne pas pousser le vice en finissant à quatre pattes, cette douzaine de morceaux avalés
Un "masterpiece", comme on dit de l'autre côté de l'Atlantique
[Album]
25/06/2007
(Epitaph/Pias)
À la fin des années 70 est né un des acteurs majeurs de la scène punk. A 17 ans, en 1979, Mike Ness monte Social Distortion à Orange County en Californie, et le groupe se fera progressivement un nom sur la scène malgré de nombreux changements de line up, notamment en début de parcours, en partie dus aux problèmes de drogue de leur leader. Les choses se stabiliseront ensuite, le groupe atteindra quelques records de vente, et enchaînera les tournées aux côtés de légendes telles que The Ramones. 
[Album]
25/06/2007
(Soul Jazz/Discograph)
Le label Soul Jazz a toujours brillé par ses talents d'archéologue vulgarisateur, compilant ou rééditant des groupes et/ou styles souvent peu documentés en dépit de leur portée historique. Le cas de ce "Box Of Dub" est malgré tout sensiblement différent dans le sens où le sujet traité est encore très récent. On n'entre donc pas dans ce disque avec le recul des années, mais plutôt avec l'appréhension de l'inconnu.
Dans le haut du panier des productions actuelles du punk/hardcore.
Un son hybride entre techno, electronica et rappels hip hop
Surprenant à la première écoute pour qui suivrait les Parisiens depuis leurs débuts, "Burn Your Own Church" apparaît ensuite comme une évolution finalement logique
Toutes les cartes d'un été à passer en club sont couchées
À moins qu'on ne soit passé à côté, on laisse cela aux ascenseurs
Un sympathique bonus/gadget signé Stones Throw
Sur la bonne voie pour crier à la mission réussie
Un des opus les plus réussis de sa discographie.
