Troy Von Balthazar – ‘Courage, Mon Amour !’
Album / Vicious Circle / 20.08.2021 Folk DIY
Album / Vicious Circle / 20.08.2021 Folk DIY
Fidèle à sa marque de fabrique qu’il défend maintenant depuis 2003, Chapi Chapo ressort ses vieux jouets pour donner vie à de nouvelles pépites pop.
Avant que le grand-glouton Live Nation ne finisse par avaler toute la musique live du monde dans son roster infernal, prions pour que certains festivals préservent encore un petit peu leur indépendance. Pourquoi ceux sélectionnés dans cette liste ? Très simplement pour leur accueil humain,
Album / indie folk / 29.03.2019 Indie folk
Avec son nouvel album solo 'It Ends Like Crazy', un livre sur Chokebore récemment paru en librairie, et une tournée à venir, l’actualité de Troy Von Balthazar est particulièrement chargée. Pour nous, c’était autant d’occasions de s’entretenir avec le seul musicien originaire d’Hawaï aujourd’hui exilé
Après Los Angeles, le Sud de la France et Berlin, c'est dans le trou le plus perdu d'une des régions les plus reculées d'Europe qu'il a donné naissance à 'It Ends Like Crazy'
C'est au cours des années 90 que Troy Von Balthazar se fait un nom : au sein de Chokebore dont le registre qualifié de 'sadcore', hésitant principalement entre noise et grunge, l'aura amené à faire quelques premières parties de Nirvana, et pousser Kurt Cobain à
Album / Vicious Circle / 01.04.2016 Indie folk / lo-fi
Laissant un temps de côté l’épopée fantastique et euphorisante de la reformation réussie de Chokebore, Troy Von Balthazar - son chanteur/guitariste - nous revient avec un troisième album solo. Fidèle au bidouillage, au minimalisme, à des lignes mélodiques poignantes et enlevées, le songwritter frappe une fois encore un grand coup dans le sac des émotions vives, propose ici une ode à la douceur teintée de mélancolie.
Il va falloir que tout le monde l'admette enfin: Troy Von Balthazar n'est plus seulement "le chanteur de", mais chanteur tout court. C'est en tous les cas ce que "How To Live On Nothing", ce deuxième et nouvel album, impose comme une évidence. En effet, en 2005, après avoir vanté les mérites du rock mélancolique et bruitiste de Chokebore durant plus d'une décennie, l'Hawaïen créait la surprise via le contraste quand il s'affichait seul (ou presque) pour servir un répertoire lo-fi, léger, sensible et naïf qu'il avait commencé à gratouiller sur la guitare de son ami Leonard Cohen. Seulement, la tentative aurait pu tourner à la courte plaisanterie si un vrai talent de songwritter ne se cachait pas derrière chacun des morceaux