Makasound Tag

clin180Album (Makasound) 28/06/2010 Reggae

Ancien bassiste et choriste emblématique des Gladiators aux côtés d’Albert Griffiths de 1969 à 1987, également auteur d’une vingtaine de titres pour le trio, comme le sublime "Rich Man Poor Man" extrait de l’album "Back To Roots", Clinton Fearon est sans conteste l’un des pères de la musique jamaïcaine. En 1987, il rompt avec The Gladiators et s’installe à Seattle, sans abandonner pour autant la musique, qu’il continue avec passion avec son groupe Boogie Brown Band, fondé en 1993. Inépuisable à la veille de son soixantième anniversaire, Clinton revient aujourd’hui avec un neuvième album solo

inna180Album (Makasound) 12/07/2010 Reggae acoustique

Après deux ans de silence suite à la sortie du dernier opus de la collection Inna De Yard de Makasound, "Earl "Chinna" Smith & Idrens Vol. 2", nous aurions pu croire que le label parisien avait mis un terme à sa série emblématique après dix opus, sortis à un rythme soutenu de deux albums par an en moyenne depuis 2005. C’était sans compter sur le fait que les artistes Inna De Yard avaient provisoirement quitté leur île en 2009 pour venir se produire en France

sig180Album (Makasound) 08/02/2010 Sonate hip hop

Sig est définitivement un artiste iconoclaste. Cinéaste, photographe, musicien, c'est par ses compositions de bandes originales de films qu'il se fait connaître. C'est aussi par ce biais, et par la suite grâce à ses albums "Vertigo Bound" et "Free Cinematic Sessions", qu'il croise d'autres musiciens talentueux l'accompagnant dans ses projets toujours plus décalés.

Exiles In Babylon[Album] 26/01/2009 (Makasound/Pias) Merger est un des plus beaux exemples de la vivacité de la scène reggae anglo-jamaïcaine des seventies, qui n'hésitait pas à puiser dans la richesse musicale unique qui animait alors le Royaume-Uni. A l'occasion de la 22ème sortie du label, Makasound a ainsi choisi de rééditer le précieux "Exiles Ina Babylon", afin de saluer le génie des trois poly-instrumentistes du groupe qui eut malheureusement une existence éphémère (expliquant sans doute sa très faible médiatisation).
Nostradamus[Album] 20/10/2008 (Makasound/Pias) Après avoir diversifié sa musique auprès d'artistes français aux facettes musicales éclectiques sur son dernier album ("Paris Rockin'" en 2006), Winston McAnuff revient avec un projet beaucoup plus reggae, ancré dans la culture jamaïcaine de ses débuts. Il partage la scène avec la clique habituelle de la série Inna De Yard, c'est-à-dire Clive Hunt, Earl Chinna Smith, Leroy Wallace et bien d'autres. On retrouve même la section cuivrée des Faya Horns, dont la première production très dub a su séduire pas mal de monde cet été.
Earl [Album] 13/10/2008 (Makasound/Pias) Avec déjà neuf albums dans les bacs, la collection Inna De Yard connaît depuis son lancement un très bon rythme de croisière, nourrie en moyenne par deux sorties annuelles. Pour le dixième opus de la série, Earl "Chinna" Smith, un des grands initiateurs du projet, qu'il avait d'ailleurs inauguré en janvier 2005 par "Earl "Chinna" Smith & Idrens", revient sur le devant de la jaquette.
Free Cinematic Sessions[Album] 22/09/2008 (Makasound/Pias) Trois disques, trois ambiances, trois sessions musicales invitant au voyage... Tel est le concept de "Free Cinematic Sessions", nouvel opus du multi-instrumentaliste Sig, également photographe et cinéaste à ses heures perdues. Pour ce dernier projet, l'artiste a voulu créer en musique trois univers cinématographiques en s'entourant, pour chaque session déclinée en quatre morceaux, de musiciens particulièrement reconnus dans le monde du free jazz, comme Erik Truffaz dans l'"Elegia Session", ou le flûtiste américain Chris Hayward dans la "Cameleon Session".
Trouble Time[Album] 22/09/2008 (Makasound/Pias) Initialement autoproduit, le backing band Tu Shung Peng s'est associé depuis quelques mois au label Makasound afin de continuer à diffuser son travail de création, au-delà de l'accompagnement scénique. Une association qui s'avère très fructueuse et intéressante pour un monde du reggae en mal de nouveaux talents. Le premier album du collectif, "Around Tu Shung Peng", ressorti récemment sur Makafresh, nous avait en effet amplement prouvé le potentiel des zicos parisiens, offrant un ensemble de collaborations artistiques exigeantes et modernes, tout en restant fidèle à la tradition roots and culture. "Trouble Time" se présente ainsi comme sa suite logique, sorte de deuxième volume d'une série de featurings qui ne cesse de s'étendre.
Around Tu Shung Peng[Album] 26/05/2008 (Makasound/Pias) Formé en 1998 et actuellement composé de dix musiciens, le backing band parisien Tu Shung Peng s'est déjà illustré sur bon nombre de scènes reggae françaises, poursuivant avec talent et rigueur leur ligne de conduite originelle: faire revivre le reggae roots jamaïcain des seventies. Mais les Tu Shung Peng sont loin de s'arrêter au simple accompagnement instrumental et ont choisi de transformer leurs rencontres en collaborations inédites. "Around Tu Shung Peng", premier album du groupe sorti en décembre 2006, est ainsi le fruit de ce travail de création commun, réalisé à partir de productions originales du backing band.
Fire & Rain[Album] 21/04/2008 (Makasound/Pias) Mikey Ras Starr est l'un de ces artistes jamaïcains largement méconnus du grand public, mais qui aurait pourtant mérité que l'on valorise davantage sa carrière. C'est dans ce genre de cas (très nombreux au final dans le milieu du reggae) que le label Makasound est bien souvent présent au rendez-vous, en sortant de l'ombre d'énormes artistes passés inaperçus dans la jungle de l'industrie musicale. Après Delroy Williams, The Slickers ou Black Roots, le label a donc choisi de mettre en lumière ce bassiste-chanteur-producteur membre des Aggrovators, et très proche dans les années 70 de Peter Tosh et des Wailers. Proximité qui se ressent incontestablement dans le son de ce "Fire & Rain", enregistré entre 1975 et 1984, et jusqu'alors complètement inédit (ce qui peut surprendre lorsqu'on sait qu'il contient un morceau produit par Bob Marley en personne, l'excellent "Got To Say Love").