Downtown Tag

white_180Album (Downtown) 30/05/2011 Rock psyché

Depuis 2008 et l'album "Workout Holiday" qu'il a mis le pied à l'étrier, White Denim n'a cessé de creuser son propre sillon, de s'auto-insuffler une véritable originalité. Partant d'un rock généreux, le groupe - fort d'une maitrise parfaite de ses instruments - s'est toujours dispersé au sein de multiples influences, tout en prenant bien soin de ne pas donner le tournis à l'auditeur. En ce sens, "Fits" enfonçait le clou il y a deux ans, attendant patiemment que ce "D" finisse de le marteler pour de bon.

bloody180Album (Downtown) 25/08/2009 Alors qu'on attend de Justice, désormais un peu prisonnier du son qui lui a permis d'exploser les sonomètres, un regain d'inspiration pour justifier son statut d'incontournable de l'electro, difficile d'accueillir à bras ouverts le premier album des Bloody Beetroots, leur équivalent italien piochant majoritairement dans le même livre de recettes. Soyons francs, le duo masqué ne manque pas de talent, mais arrive tout simplement avec beaucoup trop de retard
mos1801Album (Downtown) 08/06/2009 Si, en 2004, "The New Danger" marquait le retour de Mos Def en y mettant la forme, il en était tout autrement trois ans plus tard avec "Tru3 Magic", disque aussi bâclé que raté, qui entamait sérieusement le capital confiance dont jouissait le Mc depuis son inégalable "Black On Both Sides" de l'époque Rawkus. Désormais partagé entre ses velléités cinématographiques qui tardent à faire leurs preuves, et ce qui ressemble de plus en plus à une fidélité forcée envers son art d'origine, le new yorkais n'est plus la valeur sûre qu'il fut il y a encore pas si longtemps.
mstrkrft180Album (Downtown) 09/03/2009 C’est surtout l’efficacité de «The Looks», son premier album capable de venir titiller Justice et Soulwax sans jamais pourtant parvenir à les égaler, qui aura contribué à faire de MSTRKRFT un des éléments importants d’une scène electro alors émergente. Pour preuve, l’espérance de vie de ce premier disque n’aura pas été des plus longues, ce qui ne compromettait pas pour autant l’enthousiasme à la veille de ce «Fist Of God», des plus prometteurs sur papier avec son défilé de featurings prestigieux (NORE, Ghostface Killah, John Legend…).