Bonnie Prince Billy Tag

Parce que s’attaquer à l’histoire du folk est une montagne à franchir, nous prendrons quelques raccourcis. Ce qui nous intéresse débute lors de sa renaissance du début des années 60 sous l’appellation folk rock, quand l’instrumentation acoustique s’imprégnait de l’esprit aussi rebelle que contestataire du

bpb180Album (Domino) 03/10/2011 Folk rustique

Ce n'est pas encore devenu notre lot de Bonnie Prince Billy mensuel, mais ça ne va pas tarder à le devenir si le songwriter américain continue sur une lancée si productive. En effet, après une série de singles et un livre audio, il met un terme à son actualité 2011 avec un nouvel album qui va lui permettre d'arpenter les routes d'Europe très prochainement. L'occasion pour son public de découvrir en live les dix titres de "Wolfroy Goes To Town", un douzième disque pour lequel Will Oldham s'est entouré du groupe de musiciens qui l'accompagne depuis peu en tournée.

bonnie180Album (Domino) 16/03/2009 Incroyablement productif depuis quelques temps avec la sortie de deux albums et un live au cours de ces 18 derniers mois, Bonnie Prince Billy était incontestablement bourré d’intentions au moment de s’atteler à ce nouvel opus. «Beware» marque en effet un certain changement chez celui dont la marque de fabrique a souvent été le folk sombre et mélancolique
Lie Down In The Light[Album] 19/05/2008 (Domino/Pias) Il semblerait que l'infatigable Bonnie Prince Billy (aka Will Oldham ou Palace) ait pris tout le monde de courts avec la sortie de ce "Lie Down In The Light", que même son label Domino n'a pas vu venir. Ce qui ne signifie en aucun cas un intérêt amoindri. Bien au contraire, car si une discographie à rallonge, enrichie chaque année d'une à deux nouvelles références, ne forçait pas la retenue d'une quelconque affirmation à l'emporte-pièce, on se risquerait sûrement à qualifier cette pépite, produite par Mark Nevers (Lambchop), comme la plus reluisante de l'oeuvre BPB. Pourtant, pour être honnête, chaque nouvelle apparition de Will Oldham, exemple de régularité, ne sent jamais la révolution