
14 Mai 23 Avec ‘Tuer nos pères et puis renâitre’, Adrien Durand clôture sa trilogie
En 2021, Adrien Durand entamait une trilogie avec Je n’aime que la musique triste, une première collection de textes confrontant souvenirs, réflexions et symboles liés à un attachement totalement subjectif à la musique mélancolique. Déjà, l’auteur y célébrait son lien émotionnel et animal à la musique. Quelques mois plus tard seulement, le bordelais réitérait avec Je suis un loser, baby, autre recueil en guise de suite et de nouvelle descente dans les enfers de la mémoire, personnelle et collective, pour lequel il nous avait tout spécialement concocté une playlist à retrouver ici.
Avec Tuer nos pères et puis renaître, Adrien Durand boucle la boucle. En 192 pages limitées à 666 exemplaires, il tente de démonter la figure du père spirituel et du héros pop en convoquant celles et ceux qui ont façonné sa vision du monde, de l’art, et des relations humaines. Entre essai, chronique culturelle et non fiction, le livre revient également sur son parcours cabossé au sein des sphères underground, en passant par quelques anecdotes de sa vie et ses propres expériences professionnelles, notamment de journaliste, de musicien, et de booker.
Tuer nos pères et puis renaitre est édité par Le Gospel, nouvelle maison d’édition lancée l’été dernier par l’intéressé. Disponible dans toutes les bonnes librairies, il est aussi disponible en commande en suivant ce lien.

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