Rage Against The Machine fête les 30 ans de son premier album
Il est primordial de remettre les choses dans leur contexte pour bien peser l'impact que ce premier album de Rage Against The Machine a eu sur toute une génération.
Il est primordial de remettre les choses dans leur contexte pour bien peser l'impact que ce premier album de Rage Against The Machine a eu sur toute une génération.
A la parution de 'Songs for the Deaf' en 2002, Queens of the Stone Age proclamait sortir un des meilleurs disques de rock des dix années à suivre.
En 1992, 'Check Your Head' voyait les Beastie Boys - fraichement accompagnés du claviériste Money Mark - revenir à leurs racines instrumentales et punk rock, en jouant eux-mêmes de tous les instruments, ce qui n’était plus arrivé depuis leurs premiers maxis.
Avec ses rythmes complexes et ses guitares aux partitions si différentes qu’il en est presque impensable qu’elles soient arrivées à s’accorder avec une telle grâce, Engine Down sortait Demure, un disque qui continue de serrer les tripes.
McLusky n'est peut-être rien pour beaucoup, mais l'est beaucoup pour nous. Plus encore son album 'McLusky Do Dallas', deuxième disque considéré de notre côté comme un des plus brillants de ce rock généreux en acouphènes
16 octobre 2001. Personne ne le sait encore, peut-être pas même le groupe, mais deux ans plus tard un monstre du rock indépendant décidera de battre en retraite à l’apogée de son inspiration.
Aujourd’hui frappé du sceau des disques cultes, le second album de Weezer - boudé par les fans du groupe, moqué par la critique - s’est mangé un bide royal à sa sortie.
Le 26 juin 1990, deux ans après le chef d’œuvre indétrônable Daydream Nation, Sonic Youth sort Goo, son sixième album et le premier pour la major DGC Records.
Le 20 juin 2000, trois ans après avoir sorti leur deuxième album Around The Fur adopté tant par les adeptes de nu metal que par ceux qui rejetaient cette mouvance, les Deftones réussissaient l’exploit de confirmer leur début de succès avec le légendaire White Pony
Dans la foulée du magistral In On The Kill Taker qui portait à des hauteurs inédites le post hardcore qu’il a non seulement érigé mais aussi rendu immédiatement très personnel, Fugazi ouvrait avec Red Medicine un nouveau chapitre dans sa discographie.